vendredi 6 juillet 2018

C'est arrivé près d'chez toi, ouais, presque sous ton nez, cesse de prendre cet air étonné, pas le moment d'abandonner, faut tout donner, afin d'changer les données...*

Ici, pas d'images de véhicules incendiés, de commerces calcinés ni d'émeutiers masqués.




Vue sur la rue de l'Ehpad des Dervallières au lendemain de la mise à sac du quartier: "jusqu'ici tout va bien".
Au lendemain de la marche blanche dédiée à Aboubakar, tué mardi 3 juillet 2018 par un policier, une maman réarrange l'affiche élaborée par des jeunes du Breil, Nantes, le 6 juillet 2018.







ATTERRES MAIS PAS A TERRE



Le 5 juillet, une réunion de crise s'est tenue à la Maison de quartier des Dervallières en présence de la maire de Nantes, Johanna Rolland et des habitants, choqués. Ali Rebouh, adjoint de la maire chargé des sports, élu ayant lui-même grandi dans le quartier, a déclaré: " Nous sommes abattus mais debout".

Deux questions se posent: jusqu'où ira la violence et est-elle seulement l'expression d'une jeunesse en colère suite à une énième bavure?...



*Paroles d'une chanson du Suprême NTM extraite de l'album éponyme datant de 1998!




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